À Camden, rien n’est lisse. Les murs crient, les looks choquent, les rues vivent. Ici, l’esthétique est brute, le style est une attitude, et l’excès une norme. C’est un quartier où le punk n’est pas mort, juste recyclé — tatoué, clouté, customisé. Dans chaque recoin, un détail capte l’œil : une vitrine criarde, un visage perçant, une scène de rue improvisée. En photographiant Camden, j’ai cherché à saisir cette tension permanente entre provocation et poésie. C’est sale, vibrant, indomptable. C’est Camden. Et c’est peut-être là que Londres se montre la plus vivante.
















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