À Oslo, les personnages se fondent dans l’espace plus qu’ils ne l’occupent. Sur les places ouvertes, dans les rues dépouillées, leurs silhouettes paraissent presque fragiles face à l’ampleur du décor. La ville devient une scène, les passants de simples traits dans une composition minimaliste. Ici, l’humain n’impose pas, il suggère.

























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